Actualités

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Assurance récolte 2025 : les échéances à ne pas manquer

Assurance récolte 2025 : les échéances à ne pas manquer

Pour bénéficier de l’aide à l’assurance récolte pour la campagne 2025, quelques étapes essentielles sont à respecter par les exploitants. Après avoir déposé leur demande dans TéléPAC au printemps, il reste encore plusieurs obligations à remplir avant le 31 octobre 2025.

Témoignage d’agriculteur : une dérogation obtenue pour un mouvement de génisses

Témoignage d’agriculteur : une dérogation obtenue pour un mouvement de génisses

­Ce lundi 8 septembre 2025, Richard D., éleveur en zone réglementée, a pu transférer de bon matin un lot de génisses prêtes à vêler, saines et vaccinées, à destination d'un autre élevage..­« Grâce à l’appui de la FDSEA de l’Isère, et après une analyse minutieuse de mon dossier par la DDPP de l’Isère et de la Haute-Savoie, j’ai obtenu une dérogation officielle pour réaliser ce mouvement », explique-t-il. Ce cas concret illustre l’importance de la mobilisation syndicale et du dialogue permanent avec l’administration pour garantir la continuité des activités d’élevage malgré les contraintes sanitaires liées à la dermatose nodulaire contagieuse bovine (DNC).

Ouverture d’une procédure d’indemnisation – Orages des 24 et 25 juin 2024

Ouverture d’une procédure d’indemnisation – Orages des 24 et 25 juin 2024

Les pertes de fonds sur noyers ainsi que les travaux de remise en état des parcelles dus aux orages (pluie) des 24 et 25 juin 2024 viennent d’être reconnues en calamités agricoles par arrêté ministériel du 20 décembre 2024.

DNC : impacts sur les aides PAC et mobilisation de la force majeure

DNC : impacts sur les aides PAC et mobilisation de la force majeure

Depuis juin, la France est touchée par une épizootie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC), avec un premier foyer détecté en Savoie. Cette maladie virale, qui affecte les bovins, entraîne des mesures sanitaires strictes, dont l’abattage des troupeaux infectés et la mise en place de zones réglementées.

Fièvre catarrhale et PAC : "Cas de force majeur"

Fièvre catarrhale et PAC : "Cas de force majeur"

Si vous êtes éleveur en Isère et touché par la Fièvre Catarrhale Ovine, signalez-vous pour bénéficier d'une dérogation "cas de force majeure". Cela vous permettra de conserver vos aides PAC malgré les pertes exceptionnelles de cheptel et le non-respect potentiel des critères d'éligibilité.

Fonds FMSE : faites-en la demande !

Fonds FMSE : faites-en la demande !

Le conseil d’administration du FMSE a lancé des programmes d’indemnisation pour couvrir les coûts et pertes liés à la fièvre catarrhale ovine (FCO BTV-8) en 2023 et 2024.

Dispositif de garantie BPI en faveur des agriculteurs

Dispositif de garantie BPI en faveur des agriculteurs

Les dispositifs de garantie BPI en faveur des agriculteurs sont enfin ouverts En complément des 67 engagements déjà formalisés le 26 janvier 2024, et en conclusion du travail complémentaire qui avait été demandé par le Président de la République à l’ouverture du Salon international de l’agriculture 2024, le Premier ministre a annoncé, le 27 avril dernier, un ensemble de 14 engagements visant à soutenir le secteur agricole.

VIVEA lance un plan d'actions pour améliorer l'accompagnement des agriculteurs

VIVEA lance un plan d'actions pour améliorer l'accompagnement des agriculteurs

Quatre résolutions phares, soutenues par la FNSEA, ont été votées par le conseil d'administration de VIVEA du 25 juin dernier : 1. Les porteurs de projet souhaitant s’installer en agriculture pourront bénéficier d’un abondement financier de leur CPF Afin de favoriser le renouvellement des générations en agriculture, VIVEA a décidé de financer un abondement du Compte Personnel de Formation (CPF) à hauteur de 1500€ par an. 2. Les porteurs de projet souhaitant s’installer en agriculture bénéficieront également de l’élargissement des formations finançables par VIVEA De nouvelles formations permettant l’acquisition des compétences entrepreneuriales en direction des porteurs de projet sont désormais finançables par VIVEA. Cela concerne particulièrement les domaines de la commercialisation, du marketing, de la communication, de la gestion des ressources humaines, de la vente de produits non alimentaires, de l'agriculture et territoire, ainsi que de la santé-sécurité. Cette initiative vise à répondre aux attentes et à doter les agriculteurs en herbe de compétences complémentaires stratégiques à leurs projets spécifiques. 3. Les organismes de formation engagés dans des démarches de certification de la qualité sont soutenus par VIVEA Dans le but de maintenir une politique de qualité exigeante en matière de formation, VIVEA revalorise certaines de ses mesures de bonification financière. Cette revalorisation vise à accompagner les organismes de formation engagés dans une démarche de qualité, garantissant ainsi des formations de haut niveau aux agriculteurs. Découvrez les mesures de bonification dans le cadre de la politique qualité de formation « PQF » 4. Les permis nécessaires à l'exercice de l'activité agricole sont désormais financés à 100% par VIVEA En complément du droit annuel de 3000€ par an, VIVEA offre désormais la possibilité de financer à 100% un ou plusieurs permis nécessaires à l'exercice de l'activité agricole, en complément du budget formation. Cette mesure vise à soutenir les agriculteurs dans l'acquisition des certifications nécessaires à leur profession, simplifiant ainsi l'accès à ces qualifications indispensables. Accédez aux permis éligibles.   Contactez dès maintenant vos conseillers VIVEA pour un accompagnement personnalisé.

Ouverture d'une aide conjoncturelle aux apiculteurs

Ouverture d'une aide conjoncturelle aux apiculteurs

Afin de compenser les pertes de revenus dues aux difficultés de commercialisation en 2023, une aide conjoncturelle est mise en place pour les apiculteurs.

Ouverture par FranceAgriMer de plusieurs guichets d’aides aux investissements

Ouverture par FranceAgriMer de plusieurs guichets d’aides aux investissements

Retrouvez la liste des aides France Agrimer dans le but de soutenir les investissements permettant la réduction ou la substitution de produit phytosanitaire, l’amélioration de la performance énergétiques des serres, la réduction de l’impact des effluents d’élevage et la mise en œuvre des plants de souverainetés des protéines végétales et des fruits et légumes.